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 wendy + like a babydoll

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Wendy Calloway
Wendy Calloway
Date d'inscription : 24/09/2015

Messages : 60

Avatar : emma roberts

Crédit : fae

Pseudo : silver sky

Double compte : percy camenden

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Profession : serveuse au papa's john, militante pour le féminisme.

Statut civil : célibataire, mère d'un petit garçon de quatre ans prénommé Max.

Age : vingt-six ans.

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MessageSujet: wendy + like a babydoll   wendy + like a babydoll EmptyJeu 1 Oct - 19:58

wendy jane calloway
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nom(s) Calloway prénom(s) Wendy, Jane âge vingt-six ans date et lieu de naissance un deux mars à Londres, GB. nationalité, origine Elle est anglaise. occupation Serveuse au Papa's  et féministe orientation sexuelle hétérosexuelle statut civil Mère célibataire, une honte à cette époque. niveau de vie précaire caractère écrire ici un minimum de 10 qualités et défauts. groupe blue suede shoes crédit écrire ici.  
{little things important to know}
   Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa. Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa. Cognitis enim pilatorum caesorumque funeribus nemo deinde ad has stationes appulit navem, sed ut Scironis praerupta letalia declinantes litoribus Cypriis contigui navigabant, quae Isauriae scopulis sunt controversa.


   
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Dernière édition par Wendy Calloway le Dim 4 Oct - 18:35, édité 2 fois
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Wendy Calloway
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Statut civil : célibataire, mère d'un petit garçon de quatre ans prénommé Max.

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MessageSujet: Re: wendy + like a babydoll   wendy + like a babydoll EmptyJeu 1 Oct - 19:58

everyone has a story
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« Les chaussures me font mal. » Je marchais péniblement derrière mes parents. On avait pris la direction de l'église comme tous les dimanches matin. Les chaussures noires vernis me faisait souffrir et je grimaçais de douleur. Cela faisait cinq minutes que je répétais inlassablement cette phrase et pourtant ni mon père ni ma mère ne réagissait. Mon frère ainé passa à côté de moi en me mettant une claque à l'arrière de la tête. « Aïeeeeee ! Mère ! Jackson m'a frappé ! » Ma mère se retourna. Son brushing était impeccable, son maquillage aussi mais les traits de son visage se crispèrent. J'allais encore me faire disputer. De toute manière, c'était toujours moi la fautive. « Wendy ! Cesse tes jérémiades ! » Elle reprit le chemin de l'église et je restais silencieuse,  baissant les yeux. J'avais envie de pleurer. Pourquoi Jackson ne se faisait jamais réprimander ? Je marchais, péniblement, grimaçant à chaque pas. On passait la porte de l'église et allions nous asseoir sur un banc après que mes parents aient dit bonjour à certaines connaissances. Je me mis bien droite, je n'avais pas encore envie de me faire disputer. Nous écoutions la messe, je tentais tant bien que mal de me concentrer. Par moment mes yeux voyaient quelques choses de plus intéressants et je n'écoutais plus la messe. Je regardais avec attention les vitraux, essayant de regarder le moindre détail. Je sentis alors une tape sur la tête. Mon père. En sortant de la messe, il me prit à part. « Quand cesseras-tu de faire l'enfant ! Tu as dix ans Wendy ! Cesse de nous faire honte ! » Les larmes perlèrent au coin de mes yeux. Il m'observait d'un regard tranchant. Par moment, je me demandais si mes parents avaient une once d'amour pour moi.

Je regardais le ciel étoilé par la fenêtre. C'était le quatre juillet. Il y allait avoir un feu d'artifice et j'étais coincée dans ma chambre. Il paraît qu'une jeune fille n'avait pas le droit de sortir le soir. J'avais dix-sept ans et je commençais à m'impatienter. Je voulais vivre, aller dehors, faire des rencontres et ne pas rester entre ces murs avec des parents loin d'être aimants. J'ouvris doucement ma fenêtre, regardant la hauteur. C'était faisable, il fallait juste faire attention. Je gambadais à présent dans les rues de Bedford. J'avais l'impression d'être libre. Cette sensation était incroyable. Je marchais en direction du parc où avait lieux les festivités. « On ne t'a jamais dit qu'une jeune fille le soir, ce n'est pas franchement raisonnable ? » Je ne répondis pas, passant mon chemin mais l'homme commençait à me suivre. Je ne me sentais pas rassuré. « Attends ma mignonne, ne pars pas comme ça. » Il rigolait, je commençais à me sentir blêmir. Le parc était encore à plusieurs rues. Il m'attrapa par le bras et je poussais un cri en tentant de me débattre. « Allez, on va s'amuser tous les deux tu vas voir... » « Pour qui tu te prends ? » Une autre voix avait parlé. L'homme poussa l'autre pour qu'il me lâche. Je retrouvais la liberté de mon bras. Très vite cela finit en bagarre. L'homme fuit, laissant l'autre avec la lèvre en sang, ainsi que le nez. Je me sentais coupable. « Je suis sincèrement navrée. » Je m’agenouillai à sa hauteur, lui tendant un mouchoir qu'il refusa. « Pourquoi vous êtes encore là ? Vous êtes idiote ou quoi ? » Je sentis le rouge me prendre aux joues. « Les filles comme vous ne devraient pas sortir. » « Les filles comme moi ? » Je me sentis vexée. Piquée dans mon égo. « Il faut vous voir avec vos jolies robes à marcher dans une rue en pleine nuit telle une insouciante. Rentrer chez vos parents au lieu d'embêter les gens. » « Je ne vous ai jamais demandé de m'aider. » Je serrais les poings, il commençait à m'agacer. « Mais vous étiez bien contente. » « Je vous remercie monsieur... » « Alexander. » « Alexander. Maintenant que je sais que je gêne, je vais aller voir le feu d'artifice. » Je commençais à marcher en direction du parc. « Vous savez qu'il est deux heures du matin ? Le feu d'artifice il a eu lieu il y a deux-trois heures. » J'étais déçue, affreusement déçue, je venais de me faire humilier et j'avais eu très peur. Je voulais me retenir, mais je commençais à pleurer à chaudes larmes. « …Il ne faut pas pleurer pour ça. » Qu'est ce qu'il en savait de ma vie ? Monsieur qui voulait jouer au dur à cuire.


« Comment ça tu n'as jamais dansé ? » « Je sais danser, mais pas ce genre de danse. » Je regardais Alexander. Il m'avait emmené au Papa's John après le feu d'artifice du quatre juillet. J'avais dix-huit ans. Cela faisait un an que l'on se connaissait. Je restais assise sur la banquette, ne voulant pas me donner en spectacle. J'avais déjà réussi à faire le mur pour passer une soirée en sa compagnie. Mes parents le savaient. Jackson m'avait vu une fois en compagnie d'Alexander en ville et l'avait rapporté à nos parents. Ceux-ci m'avaient interdit de ressortir pour le voir, le traitant de voyou. Je ne les avais pas écouté, j'aimais beaucoup la présence d'Alexander. Je me sentais vivre avec lui. « Tu ne vas pas rester assise sur la banquette toute la soirée quand même. » Je sentis le rouge me monter aux joues. « C'est mieux que de passer pour une idiote. » Il sourit. « Tu es mon idiote. » Je pris mon verre pour boire mon pepsi. Une boisson que j'avais découverte quelques mois plus tôt. Pure anglais, mes parents m'avaient obligé à boire du thé dès qu l'occasion s'en présentait. Je n'avais jamais bu une boisson sucrée qui pétillait. Il me prit la main, m'obligeant à me lever. « Arrête ! » « Tu vas voir, tu vas apprécier. » Oui j'avais apprécié, surtout en passant du temps avec lui. J'aimais sa joie de vivre, le fait qu'il puisse avoir cette liberté que je convoitais tant. La soirée se terminait, le patron et ami d'Alexander nous pria de rentrer chez nous. Je fis une moue. Je ne voulais pas rentrer chez moi. Alexander marchait devant. « Je ne veux pas rentrer. » Il s'arrêta et se retourna. La tristesse envahissait mon visage. Je ne voulais pas que la soirée se termine. « Tu veux venir chez moi ? » Je souris légèrement en acceptant. J'étais toute contente et je lui pris le bras pour finir le chemin. « Tu es une fille incroyable. » « Vraiment ? Je ne suis pas une idiote ? » « Si. » Je le frappais amicalement, il m'attrapa le poignet en me regardant intensément. Je sentis mon cœur manquer des battements. « Tu es mon idiote. » Il m'embrassa et je prolongeais ce baiser. Alexander était tout pour moi.

Alors pourquoi ça a fini ainsi ? Je n'avais plus de ces nouvelles. Il n'était plus à son appartement et son voisin me déclara qu'il était parti. Parti ? Je ne comprenais pas. Au début je pensais que c'était seulement pour quelques jours. Un mois passa, puis deux. Je ne savais pas si c'était la nouvelle qui m'avait blessé mais je me sentais malade. Je restais dans mon lit depuis environ une semaine. Mes parents furent pour la première fois légèrement inquiets. Un médecin vint me consulter. J'avais de la fièvre. Je pensais à un mauvais rhume. On était en décembre . Il sortit de la chambre sans rien dire. J'allais mourir. Ca devait être ça. « Votre fille... » Je n'arrivais pas à entendre la suite. L'entrée fracassante de mon père rouge de fureur, dans ma chambre, restera à jamais graver dans la mémoire. « TU ES ENCEINTE DE CE VOYOU ?! » Enceinte. Je fondis en larme dans mon lit. Mon père me fit sortir de mon lit en me prenant par le bras. « TU ES LA HONTE DE CETTE FAMILLE ! » Je me sentis vaciller. Je pleurais à chaudes larmes. Il me lâcha pour prendre une valise et la jeta sur le lit. « TU AS UNE HEURE POUR PARTIR DE CETTE MAISON ! ET NE REVIENS JAMAIS ! » Il claqua la porte en sortant de la chambre et je me laissais tomber sur le sol en sanglots. Partir. Partir. J'en avais toujours rêvé mais pas ainsi. Je fis ce qu'il avait dit.
Il neigeait. J'avais froid. J'étais fatiguée. Je sentais la fièvre me rendre fébrile. Je marchais péniblement dans la neige. Je fus devant le Papa's John. J'observais d'un air éteint. « Wendy ? » je me retournais en regardant Peter. « Wendy qu'est ce que tu fais là ? » Je n'arrivais pas à répondre, je sentis le poids de mon corps s'effondrer sur le sol enneigé.
Je me réveillais dans un lit moelleux. J'avais mal à la tête. J'allais vomir je le sentais. J'étais épuisée. Où étais-je ? « Tu en es sûre ? » C'était la voix de Peter. C'était tout ce qu je reconnaissais. « Peter, ça fait des années que je suis infirmière, tu penses peut-être que j'invente ? Elle est enceinte, et elle a une bronchite qui n'est pas négligeable. » « Si je le vois, il va entendre parler du pays. » « Laisse-le. » « On a pas idée de faire un gosse à une fille et de partir je ne sais où ! » « Je pense qu'il ne le savait pas. » « Arrête de le défendre ! » « Arrête de t'énerver ! » Le calme s'installa. J'entendis Peter soupirer. J'avais extrêmement honte. « On ne peut pas la laisser. » « Tu pensais que j'allais te dire de la mettre dehors ? Non. » Une dame entrait dans la chambre où j'étais et je me cachais sous les droits. « Wendy. » Elle m'appelait calmement. J'avais tellement l'habitude que l'on me crie dessus que je ne répondis rien. On enleva le drap. Ils étaient là tous les deux. « Je suis tellement désolée. » Je fondis en larmes en les regardant. Peter avait toujours été gentil avec moi quand j'allais à son café. Je me sentais tellement coupable de lui imposer ça. Il me souriait avec bienveillance. « Ca va aller mieux. » Il me rassurait tandis que sa femme me tendait un bol de soupe pour que je me nourrisse un minimum. Il fût décidé quelques jours plus tard que j'allais rester avec eux. Ils se sentaient dans l'obligation de me garder, de faire que j'aille bien. Peter me proposa de travailler avec lui les jours où j'irai bien, et sinon de rester ici à aider sa femme pour le ménage. C'était la moindre des choses. Quand Max naquit six mois plus tard, ils ne m'ont pas rejeté bien au contraire. Je me sentais comme dans une famille.

« Wendy tu peux m'apporter d'autres bouteilles s'il te plait ? » « Oui ! » Fis-je en souriant avant d'aller à la réserve en jetant un coup d’œil à Max qui jouait non loin de Peter. J'étais serveuse au Papa's John depuis maintenant quatre ans. Je n'aurai jamais cru que travailler ainsi me fasse plaisir. J'étais née avec une petite cuillère en argent dans la bouche et à la base je devais me marier et fonder une famille. Finalement, la rupture avec ma famille avait sans doute été la chose nécessaire. J'avais trouvé une autre famille en la présence de Peter et de sa femme qui m'avait accueilli. Même quand j'avais décidé de déménager dans le quartier de Bedford qui n'avait pas très bonne réputation avec un bébé dans les bras ils me l'avaient interdit, préférant que je reste chez eux quitte à payer un petit quelque chose. Ces gens avaient le cœur sur la main. Je revenais avec les bouteilles de Pepsi dans les mains avant de les poser sur le comptoir. « Max fait attention avec ton train. » « Mais il ne dérange personne ! » Peter s'agenouilla à sa hauteur. « Pas vrai ? » Il était complètement gaga de Max et ça depuis qu'il était né. Quand je lui avais proposé à lui et à sa femme d'être un peu les grands-parents de cœur du petit, j'ai cru que Peter allait fondre en larmes. Je ne l'avais jamais vu aussi ému. Ils m'avaient confié qu'ils me considéraient de toute manière comme leur fille à présent. On ne parlait jamais de Alexander. C'était bien trop douloureux. Je rangeais les bouteilles au frais quand je le vis donner un cookie à Max. « Ne dis rien à maman ! » « Elle a tout vu. » Je levais les yeux au ciel avant de voir Max avec un grand sourire aux lèvres avant de croquer dans son cookie. Je pouvais le dire, j'aimais vraiment la vie que je menais. Il manquait juste quelque chose. Ce quelque chose je le voyais chaque fois en Max tellement il lui ressemblait.
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